I) Le voyage, la pêche et surtout le poisson...
J'avoue avoir un peu mentit pour me faire engager sur le bateau. Mes compétences en cuisine sont assez médiocres mais il fallait à tout prix que je trouve le moyen de partir pour voir de nouveaux horizons.
L'aube pointait, j'avais dormis avec les quelques marins sur un quai à même le sol. Quand je dis quelques marins, c'est qu'ils sont vraiment très peu. Le bateau de pêche étant petit, nous n'étions qu'une dizaine plus le capitaine à bord. Je ne parlais à personne, du moins à deux trois personnes mais je restais sur mes gardes car je n'étais pas en confiance totale. De ce que j'ai pu comprendre, plusieurs petits bateaux nous suivaient. Ils pêchaient des centaines de poissons de différents espèces et voguaient une dizaine de jours pour aller vendre leur pêche sur un autre continent. L'odeur de la cuisine se dispersait sur tout le navire. Même avec le temps, cette odeur me répugnait au plus au point.
Au premier jour, tout se passa sans encombres. Pour leur déjeuner, je décida de leur préparer une bouillabaisse. Bon en admettant qu'ils n'étaient pas de fin gourmets, le goût infâme de ma préparation à remporter l’unanimité sur le bateau. Les jours se ressemblaient tous, le temps défilaient lentement. J'en venais à détester le poisson tellement l'odeur et la vision des entrailles de ce dernier me dégoûter.
Les stocks des bateaux étant remplis suffisamment, les capitaines décidèrent d'aller vendre leur pêche.
Dans ma tête résonnait cette même phrase: plus qu'une dizaine de jours à tenir.
Enfin, un matin nous apercevons la terre, quelle joie s'éclata en moi à cet instant. Nous accostons sur un quai beaucoup plus sophistiqué que le précédent. Tout était différent, tout était tellement beau.
C'est à ce moment que je décida de me faire la belle.
Malheureusement pour moi, mon second en cuisine ne me lâcher pas la grappe. Il me répétait qu'il fallait acheter des provisions pour le voyage de retour. Sans motivation, j'accepta mais tout en gardant à l'intérieur de ma tête, cette idée de fuite...
L'aube pointait, j'avais dormis avec les quelques marins sur un quai à même le sol. Quand je dis quelques marins, c'est qu'ils sont vraiment très peu. Le bateau de pêche étant petit, nous n'étions qu'une dizaine plus le capitaine à bord. Je ne parlais à personne, du moins à deux trois personnes mais je restais sur mes gardes car je n'étais pas en confiance totale. De ce que j'ai pu comprendre, plusieurs petits bateaux nous suivaient. Ils pêchaient des centaines de poissons de différents espèces et voguaient une dizaine de jours pour aller vendre leur pêche sur un autre continent. L'odeur de la cuisine se dispersait sur tout le navire. Même avec le temps, cette odeur me répugnait au plus au point.
Au premier jour, tout se passa sans encombres. Pour leur déjeuner, je décida de leur préparer une bouillabaisse. Bon en admettant qu'ils n'étaient pas de fin gourmets, le goût infâme de ma préparation à remporter l’unanimité sur le bateau. Les jours se ressemblaient tous, le temps défilaient lentement. J'en venais à détester le poisson tellement l'odeur et la vision des entrailles de ce dernier me dégoûter.
Les stocks des bateaux étant remplis suffisamment, les capitaines décidèrent d'aller vendre leur pêche.
Dans ma tête résonnait cette même phrase: plus qu'une dizaine de jours à tenir.
Enfin, un matin nous apercevons la terre, quelle joie s'éclata en moi à cet instant. Nous accostons sur un quai beaucoup plus sophistiqué que le précédent. Tout était différent, tout était tellement beau.
C'est à ce moment que je décida de me faire la belle.
Malheureusement pour moi, mon second en cuisine ne me lâcher pas la grappe. Il me répétait qu'il fallait acheter des provisions pour le voyage de retour. Sans motivation, j'accepta mais tout en gardant à l'intérieur de ma tête, cette idée de fuite...
Dernière édition par Feeryle le Sam 21 Juil - 2:04, édité 1 fois